Journal de Gildas

Formidable week-end-end à Cabourg! Arrivée vendredi soir à l'hôtel de Paris dans la nuit en cette veille du solstice d'été, merci GPS, j'ai pus conduire les yeux fermés (façon de parler, cette option n'est pas encore  dispo mais prévue dans l'iphone 5 en 2011). Obligé de réveiller notre organisateur préféré à minuit trente car ma clé de chambre était manquante! Mais tout ceci fut vite arrangé.

Le lendemain, petit déjeuner au bar de l'hôtel de Paris dès 8h30, tout le monde était là, prêt à en découdre avec la mer rebelle. Retrouvailles de têtes connues, rencontres, noble but, entre autre, ne l'oublions pas, de ce week-end CE. Un saut de puce à la plage d'Houlegate, là bas, la mer est forte parait-il (la Houle guette). Les moniteurs, bronzés et sympathiques nous habillent de combinaisons plus ou moins intégrale, selon le critère, non pas du coefficient de frilosité des personnes, mais selon le critère plus pratique de FIFO. Un peu comme pendant les soldes, chacun choisit sa taille et la marchandise fût dévalisée rapidement. Après une formation d'une minute, nous constituions des équipes de 2 ou 3 selon les affinités et les tailles de catamarans. Les cata partent sagement un par un affronter la mer avec l'aide des moniteurs au tain halé. Sauf l'équipe de notre-organisateur-préféré qui part toute seule parce qu'elle ne peut plus attendre et aussi notre équipe pour les même raisons. Après avoir évité de justesse de se fracasser sur la jetée, nous reprenons la lutte avec la mer déchainée (enfin, avec les vagues au niveau de la plage). Ensuite chaque cata navigua avec plus ou moins de succès, de vitesse, de virement de bords et d'empanage, L'empanage n'est pas un plantage de pieux dans le corps mais un virage de bord avec vent arrière (faire la liaison). Les moniteurs nous criaient de loin des instructions mais leur paroles se perdaient la plupart du temps dans les flots. Bref ce fut un bon moment pour le narrateur de ce récit.

Déjeuner au restaurant, menu copieux sur le thème de la mer, quelques rebelles ont bien pris de la viande mais en majorité le poisson était roi. Les discussions aux deux tables était animées, je ne me souviens plus des thèmes abordés car ils étaient légers, mais le déjeuner se prolongea jusqu'au rendez vous suivant à 16h, le clou des activités du séjour : le char à voile.
Les moniteurs, plus jeunes que ceux du catamaran mais à la figure néanmoins également burinée par le soleil était là pour fournir des casques de couleurs, des chars et pour nous instruire également sur le fonctionnement de la machine. L'un d'eux avait la voix cassée par son métier. Au début le vent manquait, les moniteurs ont donc adopté la ruse du duo pousseur / pilote. Le pousseur propulse le char sur quelques mètres pour lui permettre de se lancer. Une fois le vent levé, nous partîmes tous à l'assaut des chars. Les plus motivés continuèrent et la course infernale commença. Lignes droites, virages, 2 roues en équilibre avec le vent, quelques accidents sans gravité (sauf un, un peu douloureux, suite à un 2 roues finalement en déséquilibre). Certains plus téméraires encore on gouté au splash dans l'eau de la plage!
Le spectacle tant de l'intérieur que de l'extérieur des chars était complet. Ben Hur lui même parait bien pitoyable à côté. Malgré les dos boxés par les sièges mal ajustés ou les doigts en feu à force de tirer sur la corde, c'est heureux que nous ressortîmes de cette épreuve de prêt de deux heures.

Quartier libre ensuite pour se reposer un peu des aventures de la journée et se réconforter par une douche chaude. Un apéro à la terrasse du bar de l'hôtel précéda le dîner du soir, copieux et bon, lui aussi et surtout un peu long pour certains des sportifs du samedi et du dimanche comme moi qui ne tardèrent pas à regagner les bras de Morphée, la déesse du sommeil-des sportifs-du-samedi-et-du-

dimanche-qui-ont-fait-de-la-voile--toute-la-journée.

Dimanche matin, les lieux était connus, petit déj rapide au bar, adieu à l'hôtel de Paris par le geste simple de se servir d'un bonbon à l'accueil, puis deuxième session (sauf pour quelques uns pour qui s'était la première) de catamaran à Houlegate. La mer était belle, la brise légère, le soleil était au rendez vous, les conditions étaient optimales pour passer un encore un bon moment. L'organisateur avait en effet pris soin de prendre l'option conditions météorologiques optimales garanties pour seulement 30€ de plus.

Pour terminer ce week end, l'imparable formule voile restau nous permis d'achever ce séjour par un nouveau plantureux repas, les moules-frites eurent un grand succès.

Merci à l'organisateur, aux conducteurs, aux photographes, aux mécènes de l'apéros, aux prêteurs de serviettes, de k-way et de crème solaire, mais aussi ne les oublions pas aux moniteurs au tain halé et à la voix cassée, (très utile pour draguer), ainsi qu'à toutes les personnes de l'ombre que l'on oublie et enfin et surtout à toutes les personnes ayant participé à ce séjour. Venons plus nombreux la prochaine fois!

Je viens de terminer ce numéro de XXI, c'est une découverte pour moi! Ce journal édité tous les 3 mois, épais de 200 pages vous emporte dans des récits réels mais envoutants! Les illustrations sont aussi de grande qualité et participe au rêve et fond de cette revue un très bel objet.

Vous pouvez vous procurez le numéro 4 ici, d'occasion ou neuf en profitant en plus de 7€ de bienvenu si vous ouvrez un compte sur Priceminister (site d'achat vente, neuf et occasion) .

Et aussi sur le groupe PriceMinister :  Revues,  Vente appartement

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Le blog du journal, pour en savoir plus et se tenir au courant de l'actualité : http://www.leblogde21.com/

Ici à Nantes, je travaille en centre ville et il y a assez souvent des manifestations dans la rue et puis en ce moment c'est le carnaval, pour ceux qui connaissent pas c'est comme une manif sauf que les gens sont contents et lancent des confetis au lieu des chaussures ou pierres ou cocktails molotovs, du coup ça fait moins mal et les gens sont encore plus contents ! 

Ma vie à Nantes : le midi, je déjeune souvent au café du passage, un endroit d'habitués, la grande vitrine du café a récemment été remplacée, une bande d'une cinquantaine de gagoulés l'avait brisée lors d'une émeute récente. De cette vitrine, à l'occasion du carnaval, on voyait des vendeurs de ballons gonglés à l'hélium (les ballons, pas les vendeurs). Soudain, un gros groupe de ballons s'est échappé pour courir vers le ciel, là je me suis dit: le mec il peut pleurer ses ballons!

Je l'ai vu à Evreux en 2005, c'était bien sympa comme spectable.

Date déjà mais ils viennent de recommencer une nouvelle saison :

Bonne humeur  (La Chanson du Dimanche / saison1-1)

Le clip officiel :

Une petite adaptation :